Dans le livre :
M E M O I R E - E N - I M A G E - D I S O N
- Page 13 : L’orateur est le bourgmestre de Dison de l’époque (192 ?-195 ?) : Jules Hoen. Jean Roggeman est le grand-père du futur locataire de notre appartement de la place du Sablon lors de notre mariage.
- Page 14 : Jean Delhez est le père du bourgmestre Jean durant la guerre 40-45..
- Page 15 Le chanoine Ancion était depuis 1951 le curé de mon frère Joseph qui était vicaire à St Roch. Mathieu Bragard, le père de Guy était durant la guerre 40 – 45, président du Secours d’Hiver de Dison.
- Page 22 : Sur la photo du haut, on remarque que le tram venant de l’Harmonie, roule sur une seule voie jusque Dison. Le doublement des voies est alors uniquement réalisé lorsque les trams doivent se croiser. Ils sont alors en possession d’un bois pour redémarrer vers une zone à sens unique. Cette photo prise avant 1903, Dison était le terminus de la ligne 2 électrifée depuis avril 1900. En effet depuis juillet 1884 la traction du tram était chevaline. L’extension vers Petit-Rechain date de novembre 1903 avec double voie uniquement à l’arrêt Franquet (près de l’ancienne école St Fiacre... photo page 24 du livre rose sur les trams des lignes 2 et 5) et à l’arrêt Fassotte (page 22 du même livre) ainsi qu’au terminus de Rechain pour la manœuvre des remorques. C’est en 1923 que la ligne 2 est équipée de double voies de Dison au Palais. Pour compléter l’historique, c’est le 14 janvier que les bus ont remplacé les trams.
- Page 23 : La photo du haut est la rue Pisseroule. Mis à part les dernières maisons de gauche au bout de la rue, elles ont toutes été démolies pour l’accès à l’autoroute. A droite se trouve aujourd’hui la station d’essence;
- Page 25 : La voiture ressemble en partie à celle de mon père. Sur la photo du bas, prise avant 1928,seule subsiste aujourd’hui la maison de droite dont on ne voit qu’une demi fenêtre et qui fait le coin avec la rue Albert I. Aujourd’hui en 2011 est construit un bâtiment en arrondi qui rejoint les anciens Bains-Douche devenu maintenant local de la commune.
- Page 26 : La photo du haut montre à gauche le plombier Pitôt qui était le plombier attitré de mes parents. Lui, avec ses mains en poches est aussi le grand-père de Rosy Piront amie de Myriam.
- Page 29 : En bas de page, la photo est adossée à gauche à la maison Jeangette.
- Page 31 : En bas de page, la maison de gauche était une friterie, c’est maintenant le parking de la pharmacie du coin. Plus loin, la maison avec store était le légumier du nom de Malvaux.
- Page 35 : Le photographe est placé près de la rue Pisseroule. On aperçoit dans le fond la maison de droite faisant coin avec l’ancienne rue Trauty, et derrière l’ancienne maison de retraite appelée en ces temps Hospice des vieillards. Dans cet hospice, vivait aussi une vingtaine d’orphelins ou d’enfants placés par le juge. La photo du bas montre au devant à gauche un estaminet et à droite la boucherie épicerie Evrard.
- Page 37 : A droite, photo du haut, début de la rue des Meuniers.
- Page 41 : Le bureau des postes est détruit pour faire place au parking du magasin Avéve. On remarque sur les deux photos de cette page les rails du tram qui auparavant arrivait de la place Roggeman.
- Page 42 : Le train en gare de Dison est au départ vers Verviers.
- Page 43 : La maison de la garde barrière avec à gauche le passage à niveau non visible sur la photo. La photo du bas marque l’endroit où habitait dans les maisons de gauche les parents de Pierre Iserentant. Aujourd’hui, la route est élargie avec un rond point suite à la construction de l’autoroute.
- Page 45 : A droite de la maison, une des vieilles maison de la rue de la Violette. Toutes ses maisons ont aujourd’hui disparus.
- Page 55 : La photo du haut montre à droite la maison où jusqu’en 1925, les sœurs de mon père tenaient un dépôt de la boulangerie de la rue Albert I. La photo du bas est maintenant le funérarium, le magasin de fleurs Lousberg, L’ancien presbytère, puis les maisons détruites soit le magasin Lange et fabriquant de couques. Puis Mr Lacrosse, imprimeur et tué pendant la guerre par les allemands. Vient ensuite Melle Jounen institutrice à l’école Notre-Dame. Venait ensuite Mr Delhause marchand de charbon, dont l’écurie de son cheval était sous le pont de l’autoroute.
- Page 58 : L’homme à droite du commentateur est le bourgmestre Jules Hoen.
- Page 61 : En haut : c’est le chemin qui suit la rue aux Verres où habitait au bas de celle-ci: Victor Thonnard, frère de mon père et sa femme Marie Beckers. En montant ce chemin, on arrivait à l’église de Mont après être passé devant la ferme desgrands-parents de Véronique Iserentant qu’ils occupaient avant 1950...
- Page 99 : La photo du haut où tout est démoli, montre le château remplacé par un petit building où a habité Didier et Véronique. En face de celui-ci se trouve les Ets Cari-fleurs et la station d’essence. Au fond, le viaduc du chemin de fer menant vers la gare de Dison.
- Page 106 : La photo du bas est située près de l’ancienne école de la rue de l’Industrie.
- Page 107 : C’est l’épicerie Bulteel au bout de la rue Trauty. Et la photo du bas, l’ancienne rue d’Andrimont détruite pour Interlait.
- Page 108 : C’est le haut de la rue du Corbeau, à la sortie des anciens Déchets de Dison, d’où le biez est sorti de son lit. Il n’y a pas eu d’inondations en amont.
- Page 110 : La photo du bas montre Claire Goblet et son premier mari Marcel Vieillevoye celui-là même qui m’aida à manipuler le chocolat à la boulangerie.
- Page 114 : La photo du haut montre pas mal de jeunes que je connais, le seul qui me paraît pourtant important à signaler est le deuxième à gauche et à genoux : le frère de Christian Stassen c.a.d. Alain son jeune frère aujourd’hui décédé.
- Page 115 : L’école St Fiacre n’a pas l’honneur de voir mes deux frères aînés. Ils sont à cette époque encore trop jeunes.
- Page 125 : Le café Califice est juste à gauche de la maison du coin de la rue du Marché et de la rue Albert I.