Dans le livre :
D I S O N - A U - P A S S E - E T - A U - P R E S E N T
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A D D E N D U M
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Avril 2013
- Page 08 : L’ancienne chapelle était située au milieu de la place du Sablon. Confirmation par le plan à la page 13.
- Page 13 : Le nouveau bâtiment de l’école de 1905 situé à droite du centre de la commune et plus haut que l'autoroute est encore visible en 2013.
- Page 14 : Au centre de la photo, sous l’église, dans la jonction entre l'ancienne place du Marché et la place du Sablon se trouvait une usine à l’endroit soit en 2013, un café et un marchand de fruits. Cette usine à brûlé et fut reconstruite vers les années 1900 et dotée d'appartements.
- Page 18 : Photo prise après 1903. Cette année est celle de l’extension de la ligne de tram de Dison vers Petit-Rechain. Elle date donc probablement de 1908. Sur l'arrière du tram, le chiffre 3 était le n°de la ligne de ce temps-là. La ligne 3 à cette époque reliait Rechain à Mangombroux
- Page 20 : La photo date au mieux de 1902. Pas de tram vers Petit-Rechain Voir la largeur des trottoirs. La rue est ornée pour une des processions. Des piquets pour guirlandes au bord des trottoirs et deux oriflammes pendus entre les maisons au bas de la rue et visibles sous le pont. Il y en avait deux par année à Dison; la première au mois de Juin qui commémorait la Fête-Dieu instaurée à Liège en 1846 et la deuxième le dernier dimanche du mois d’Août jour de la fête de St Fiacre patron de la paroisse de Dison. Les deux derniers dimanches du mois d’Août, il y avait la fête foraine à Dison. Avant l’année 1940, les forains occupaient la place Trauty la place de l’église, la place Luc Hommel et la place du Sablon. Aujourd’hui, ces fêtes n’ont plus la cote; elles ont été remplacées par des parcs immenses tel Walibi, et d’autres : les attractions y ont une dimension et des sensations bien plus fortes. Leur construction aux fêtes foraines pour une semaine ou deux est devenue trop onéreuse.
- Page 22 : L’îlot a disparu, la rue de la Carrière aussi. On remarque encore la la maison dans le fond de cette rue. Ce fut une épicerie jusqu’en 1964. Derrière les trois enfants, au coin de la maison se trouvait une boulangerie occupée par les époux Lambert.
- Page 24 : Jusqu'en 1908 une seule voie de tram descendait vers Verviers. Par la suite toute la ligne sera en double voie étant donné l'augmentation du charroi.
- Page 26 : Le petit store blanc à droite de la rue était un magasin de couture tenu par les époux Cornet Simar : beau-frère et sœur de notre grand-mère maternelle. Jean Cornet des pompes funèbres étant un arrière petit fils de ces derniers. Ma mère en tant que jeune fille travailla dans ce magasin de couture vers 1920.
- Page 27 : Durant les premières années de modification du centre de Dison, seules les voitures venant du haut passaient le long des maisons de gauche; les voitures qui montaient vers Rechain et l'autoroute étaient dirigées de l'autre côté du du terre-plein. Par la suite, la place de la Libération fut élargie et le double sens réinstauré le long des maisons.
- Page 28 : Le centre et l’aubette à journaux tenue jusque dans les années 50 par les époux Bodson était aussi le rendez-vous des pensionnés de l’époque.
- Page 31 : Sur cette photo, on distingue la première route décrite à la photo n°27.
- Page 32 : Le tunnel où nous allions nous cacher durant les alertes déclenchées dès 1943 lors des bombardements alliés vers l’Allemagne. au-dessus du tunnel, la colline où était érigé la statue du Sacré-cœur avant la construction de l’autoroute. La deuxième voie de rails est déjà enlevée par l’occupant.
- Page 34 : Les deux toits à droite et contre la voie de chemin de fer sont : 1° : devant : le couvent des Frères Maristes; avec ses trois fenêtres il se situait dans la rue Léopold. Il y avait quelques classes avant leur arrivée 2° : derrière ce dernier, le bâtiment construit uniquement pour l’école lors de ses débuts avant l’arrivée des Frères Maristes.
- Page 38 : au-dessus des trois arches, on distingue le hangar en tôle ondulée servant au déchargement des wagons de marchandises destinées à Dison.
- Page 41 : On distingue à droite de l’église, un peu plus bas, les stores des commerces de la rue Albert I.
- Page 44 : A droite de la voiture VW, on distingue le camion de Joseph Galle, devant son entrepôt de grossiste en denrées coloniales.
- page 45 : En bas à droite, l’entrée de la salle « La Musicale » située au premier étage; c’est là où nous allions durant la guerre 40 recevoir les suppléments de nourritures distribués aux enfants de Dison par le »Secours d’Hiver ».
- page 46 : A droite du terre-plein, un cheval se désaltère à la fontaine déplacée depuis. C’est sur ce terre-plein que les soldats américains montèrent une estrade de bois en 1945 pour en faire un terrain de basket.
- Page 48 : A droite le café Cambronne, deviendra après 1948, pour quelques années la salle de cinéma ‘Caméo’. La 3me maison est celle du docteur Dubois, déporté avec son épouse durant la guerre. Elle deviendra la maison de l’architecte Jeangette; il supprimera le deuxième étage de cette maison.
- Page 50 : C’est le début de la rue de la Montagne, à gauche de l’école du Centre.
- Page 52 et 53 : idem aux pages 50 et 51.
- Page 56 : C’est à la mi hauteur de la rue de la Montagne qu’une ruelle redescendait à l’époque vers la place Trauty pour arriver à la pharmacie actuelle.
- Page 58 : La maison du milieu est l’imprimerie : JJ Jespers Grégoire. Beaucoup de nos souvenirs familiaux provenaient de celle-ci. Cette place s’appelle maintenant place Luc Hommel.
- Page 60 : Toujours place Luc Hommel, le hangar de gauche est l’entrée du garage dans lequel était le box de l’auto Minerva de notre boulangerie.
- Page 65 : Il y a eu un hôtel CARLTON durant quatre ou cinq ans. A gauche de cet hôtel, au bout de cette rue, il y a une petite maison blanche; c’est en face de celle-ci que se situait la cuisine de l’armée américaine où je me rendais pour récolter les surplus de nourriture. L’hôtel et les maisons de gauche ont disparu lors des travaux de l’autoroute et l’extension de l’usine Interlait.
- Page 68 : Au bas de la photo, on est près du passage à niveau de la rue du Bois. Dans la rue du bas, un tram circule dans cette rue montant vers Dison. Le haut de cette rue montre le tournant du Couquemont précédent la rue Albert I.
- Page 69 : Vue du même endroit avec Interlait dans le haut de la photo.
- Page 74 : A gauche de cette photo débutait une ruelle rejoignant la place Roggeman.
- Page 78 : Plus haut dans la rue Pisseroule, à droite, on aperçoit l’entrée de l’impasse de la Limite et plus haut le début de la rue Neuf-Moulin.
- Page 88 : Devenue place Roggeman. A l’époque le tram traversait la place: la rue Neuve étant commerçante et industrielle. Plus tard, le réseau du tram fut à double voie; il emprunta alors la rue Pisseroule.
- Page 90 : Vers Dison, c’est le début de la rue Neuve.
- Page 94 : En 1964, c’était la suite du Thier de Hodimont descendant vers la rue Pierre Fanchamps.
- Page 104: Entre la gare et les maisons, un chemin montait pour atteindre la hauteur du pont enjambant la voie ferrée. L’avenue Jardin-Ecole tournait à gauche devant les maisons. A cet endroit, la nouvelle avenue de la Station déplacée plus à droite est rehaussée de plusieurs mètres pour atteindre le niveau de la route sous lequel passait le train.
- Page 108 : C’est l’endroit du nouveau rond-point au-dessus de l’avenue Jardin-Ecole. Une seule maison demeure aujourd’hui. A l’époque, dans cet îlot se situait la ferme des grands-parents de Véronique Iserentant.
- Page 116 : Le monument avant l’autoroute.
- Page 117 : Le monument déplacé en 1965.
- Page 137 : Cette ruelle venant de Mont descend vers la rue aux Verres qui rejoint ensuite la rue Haut-Vinave, cette dernière montant vers le cimetière.
- Page 138 : Nous sommes à l’entrée haute du cimetière de la commune
- Pages 142 à 145 : Place du Tiège
- Page 150 : A droite, entrée de la rue des Meuniers.
- Page 152 : La gendarmerie qui est maintenant intégrée dans la police a quitté la rue d’Andrimont en 2010 pour son nouveau bâtiment au centre de Dison.
- Page 187 : Mon frère Joseph fut vicaire en cette église St Roch vers 1955.
- Page 201 : Dans cette maison, Jacques Lambrette, époux de ma sœur Jeanne est placé pour raison de santé dès l’année 2009.
- Page 206 : C’est le début de la rue Neuve côté Intermarché.
- Page 207 : Véronique et Didier y vécurent au 2me au retour du Burundi durant deux ou trois ans.
- Page 210 : Ce mémorial est situé au-dessus de l’avenue du Foyer.
- Page 212 : La photo du haut montre la place Luc Hommel. avec à droite l’ancien bâtiment des Bains-Douche. La photo du bas montre la même place avec vue vers la rue des Ecoles.
- Page 213 : La photo du haut montre la place du Sablon. L'église non visible est à gauche de la photo. La photo du bas montre l’école du Centre, place Luc Hommel.
- Page 214 : L’endroit de la photo du haut m’est inconnu; celle du bas est la fin de la rue Neuve du côté Place Roggeman.
- Page 215 : Toujours rue Neuve, les pavés ont été écartés pour la visite Royale.Devant de gauche à droite : le gouverneur Clerdent de la province de Liège, le roi Baudouin. Derrière eux le commissaire de police Stotz et à droite le bourgmestre de Dison, Mr Lamarche.
- Page 236 : Sur la photo du haut, on aperçoit à droite entre les bâtiments le chemin qui rejoignait le haut de la rue de la Montagne. CARTE DE LA SEIGNEURIE DE PETIT-RECHAIN. (1921) Itinéraires bien d’époque coloriés : En rouge : Rue de la Station, Avenue Jardin-Ecole, rue Haut-Husquet. ou Rue du Husquet, rue Haut-Husquet pour arriver ici. En vert : Rue du Biez, rue de la Violette, puis des chemins. ou Rue Léopold, Chemin Ma Campagne, puis des chemins à travers les prairies. pour arriver chez les grands-parents à Bonvoisin. Leur ferme est déjà renseignée.